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 Pretty Women !

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Mary J. Shining

Mary J. Shining
    Sunshine • le sourire ardent d'une rose des neiges

Pretty Women !  Icon10
♣ date d'inscription : 09/09/2010
♣ prénom / pseudo : Miss . F
♣ nombre de messages : 60
♣ copyright : Jinx™
♣ âge : 19 ans
♣ université : Cambridge
♣ études/métier : Arts , option psychologie
♣ popularité : 90
Localisation : Sur le toit de l'école


***
♣ sexualité: bisexuel(le)
♣ situation amoureuse: célibataire endurci(e)
♣ relationships:

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MessageSujet: Pretty Women !    Pretty Women !  EmptyJeu 16 Sep - 22:39

    « Cher journal »
    Aujourd'hui comme chaque jour je me lève aux aurores. La raison de cette habitude presque stupide vient du fait que je suis du genre lève-tôt. J'ai toujours aimé regarder le soleil apparaître par derrière les arbres de notre résidence à St. Petersbourg. Je montais sur le toit. En sortant par la fenêtre de ma chambre, au second étage, je pouvais attendre les lièges montant sur la façade, et m'accrocher jusqu'à ce que je fus assise sur les tuiles rouges sombres. Mais depuis que j'ai déménagé, il y a environ trois ans - alors que je suis partie pour un bon voyage aux Etats-Unis - je n'ai plus eu l'occasion de profiter de cette vue merveilleuse. Aujourd'hui je me trouve à Cambridge, dans une université réputée, et je n'ai pas même l'occasion de monter sur le toit pour profiter d'un instant de solitude poétique. Du coup, ce matin, alors que le soleil commençait son ascension, j'eus la frustration de constater que je ne pouvais pas le suivre jusqu'en haut. Et de plus, que je n'avais rien d'autre à faire car de toute évidence, tant que les cours n'auront pas débutés, je ne pourrais pas trouver de réels divertissements.

    Et comme tout ceux qui me connaissent le savent, lorsque je suis frustrée, je dépense. Aussi, dés que cette évidence m'atteint, je sautais de mon lit, dans cette chambre où je me trouvais être encore seule - je ne supportais pas la solitude - et allais chercher des vêtements dans l'armoire. Alors que je l'ouvrais je pris conscience d'une chose qui pourtant aurait du devenir pour moi une obsession ; je n'avais plus rien à la mode. Elle bougeait constamment, les gens avaient des goûts et des couleurs changeantes, lunatiques, et surtout difficile à suivre. Heureusement pour moi, je me trouvais à moins d'une heure de route de la plus grande capitale de la mode au monde. J'adorais Londres, et y avoir vécu pendant quelques mois avait été l'expérience la plus fabuleuse de ma vie. J'en avais appris tant sur les uses et coutumes anglaises que je ne pouvais imaginer vivre ailleurs que là pour le restant de ma vie. Alors, je me contentais de prendre un short en jean, des collants pourpres, et des converses noirs, et un chemisier noir à manches courtes. Mes cheveux blonds avaient trouvés une couleur tout à coup bien plus ... rouges ? Car hier je n'avais rien trouvé de mieux à faire que d'acheter une coloration rouge sang, demi-permanente. Alors, une fois que tout cela fut fait, je pris une douche rapidement, et en sortie émistouflée dans une serviette épaisse.

    Devant le miroir couvert de buée, je pensais à la stupide habitude que nous pouvions avoir nous les femmes à toujours chercher à être parfaite en toutes circonstances. Mais que pouvais-je bien y faire ? Alors, débitée, j'enlevais la buée avec ma main droite, et découvrit un visage bouffi par la fatigue. J'avais besoin d'un bon masque de maquillage. Blush, gloss, fard à paupière. Au finale, je ressemblais à une magnifique demoiselle prête à sortir pour faire une virée de shopping intense ! Alors, je pris un sac fantaisie avec des petits personnages styles mangas dessus, et y jeter mes clés, mon portables et mon porte-monnaie. Sortant en coup de vent, je mis mes lunettes de soleil de marques et me colla un sourire ravie sur le visage. Il n'était pas feint, il n'était jamais feint, et j'étais vraiment très heureuse de sortir de cette école pour aller faire un tour dans cette nouvelle vie. Alors, je marchais fièrement dans les couloirs encore vides, et j'ouvris les deux battants d'une porte pour la franchir. Moi, dans toute sa splendeur !

    Oooooh Happy Day ! Chantant dans les rues encombrées à cette heure de la journée, je me munis d'un beignet, et d'une bouteille de Sprite, pour commencer le tour des magasins de la rue marchande. Au départ, j'eus une sorte de crise de conscience et me convainc de faire les boutiques de matérielles de bureau pour rechercher les affaires dont j'aurais besoin pour la rentrée. Mais dés que j'eus un bloc note de cent pages, et un stylo bic bleu, j'en eu tout simplement marre. Et j'entrais dans un magasin de CD et DVD.

    Guns'and'roses, Rolling Stones, Beattles, AC/CD ! C'était tout simplement le paradis de la fille normal ce magasin ! Je courais entre les rayons en chantant les chansons qui me passaient par la tête. Les types tatoués me regardaient avec un air étrangement sympathique et la majorité m'accompagnaient en jouant de la guitare ! C'était ca le ROCK ! C'était ca la vie ! Je me prenais pour une de ces Punks trop fière pour être parfaite en toute circonstance ! No Futur Sire ! Je comptais bien profiter de la vie et éviter cette mort si redouter. De l'aurais cette garce, avant qu'elle ne me chope ! *éclat de rire satanique*. Mais il arriva un moment où je n'eus plus aucune excuse pour rester dans le magasin et après l'avoir dévalisé, j'attaquais le second et ainsi de suite pendant presque deux heures complètes.

    Lorsque une heure sonna il ne me restait que les chaussures à acheter, et je me promenais avec trois sac plein de choses et d'autres. Je prenais mes marques, et les commerçants en semblaient tout à fait ravies. J'entrais alors dans un Starbuck pour me faire servir un plat de gâteaux avec un café au lait avec de la crème et des biscuits lorsque je croisais le regard d'une demoiselle que j'avais probablement croisé quelques part, sans me souvenir où et quand.

    «  Oh My God ! Comment peut-on oser sortir avec un truc pareil sur le dos ! Il faudra me donner l'adresse de ton styliste Chérie ! » Je m'approchais d'elle, et touchais ses fringues, ses cheveux et son sac. « Ou alors si tu n'en as pas il faudra que je te présente au mien ! » C'était ainsi avec Moi, on ne savait jamais si ce que je disais était gentille ou moqueur ... en réalité à ce moment-là, je ne le savais pas moi-même. «  Au fait, je m'appelle Mary Shining, mais appelle moi Shine ! Qui es-tu ? »
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Bonnie J. Dashwood

Bonnie J. Dashwood
administratrice ♣ l'ambition de faire le bien est la seule qui compte.

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♣ date d'inscription : 19/07/2010
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MessageSujet: Re: Pretty Women !    Pretty Women !  EmptyLun 27 Sep - 23:42

Spoiler:
J'avais les yeux fermés, j'étais allongée sur mon lit, dans une position inconfortable mais je ne voulais pas bouger, je voulais en profiter car dans quelques jours j'allais quitter mon petit lit douillé pour les lits de l'université. Je ne savais même pas avec qui j'allais être et cela m'angoissait un peu. Et si nous ne nous entendions pas? Et si nous n'arrivions pas à cohabiter ensemble? Je me posais beaucoup de questions en ce moment que ce soit sur l'université ou sur mes études. Avais-je fais le bon choix? Le stylisme c'était toute ma vie mais est-ce que je n'allais pas me foirer ou encore changer d'avis? Je savais que je me prenais la tête pour rien d'ailleurs mon père me l'avait dis ainsi que Sterling mais c'était plus fort que moi. J'avais tellement peur que je pensais des choses inimaginable parfois. Et puis c'était normal d'un côté non? J'entrais dans une face de la vie ou il ne fallait pas que je me trompe. Je ne voulais pas que quelqu'un de mon entourage me ramasse à la petite cuillère car je n'aurais pas assez réfléchis et me serait trompée dans mes choix. C'est en faisant des erreurs qu'on grandit mais les erreurs me faisaient peur et je n'y pouvais rien.

J'ouvris enfin les yeux, mon plafond était de couleur orangée pastelle. D'ailleurs toute ma chambre avait des couleurs pastelles. J'avais un mur bleu, un autre rose, un autre vert et l'autre était jaune. Mon plafond était orange et mon sol était de couleur violette. C'était une chambre vraiment très coloré. Tellement colorée que parfois ça en faisait mal aux yeux pour certains mais moi j'aimais ma chambre comme elle était et ne la changerais pour rien au monde. La vie était trop belle pour se la gâcher avec du noir et de l'obscurité encore et toujours. Comment pouvait bien faire les gens adepte du noir? Leur vie devait être tellement triste que cela me faisait de la peine pour ce gens que je ne connaissais pas et que je ne connaitrais surement jamais. Mais bon, après tout si cela leur plaisait c'était leur droit mais j'étais vraiment triste pour eux. La couleur me donnait la joie de vivre et l'envie de croquer la vie à pleine dents sans me soucier de savoir si cela allait faire parler les gens. Il n'y avait que mon avenir qui me prenait la tête mais il fallait que j'arrête de penser à ça. Je me levai et partie directement prendre une douche. Je n'avais pas fin pour le moment et préférais donc me préparer pour cette journée à venir même si je ne savais pas encore ce que j'allais bien pouvoir faire.

Après avoir pris ma douche, m'être habillée, coiffée, maquillée je sortis de la maison, sac en main direction le Starbucks du coin. Il n'y avait personne à la maison et je n'avais pas envie de prendre mon déjeuner seule et je n'avais pas envie de prendre un vrai repas non plus. Je n'avais ni petit déjeuner, ni déjeuner mais je m'en fichais un peu. Déjà pour le petit déjeuner c'était mort à une heure de l'après midi ensuite pour le déjeuner je n'avais pas assez faim pour manger un vrai repas. J'allais donc prendre un bon petit encas et cela me fera surement tenir la moitié de la journée. J'entrai à l'intérieur du Starbucks après dix minutes de marches. Je ne vivais pas près du centre ville mais j'avais pris soin de prendre la voiture de mon frère qui était partit je ne sais où sans. Tant pis si il en avait besoin pour le moment c'est moi qui en avait besoin et puis c'est tout! Je commanda ce que je prenais d'habitude c'est à dire un Viennois aromatisé au Caramel avec un nappage caramel mon petit plaisir si je puis dire avec des muffins de toutes sortes. Cela faisait à peine quelques minutes que j'étais assise qu'une jeune fille blonde s'installa en face de moi. Je ne l'avais pas invitée à s'asseoir mais bon je la laissais faire si après tout elle avait envie de parler à un zombie de mauvaise humeur. « Oh My God ! Comment peut-on oser sortir avec un truc pareil sur le dos ! Il faudra me donner l'adresse de ton styliste Chérie ! Ou alors si tu n'en as pas il faudra que je te présente au mien ! »

J'étais habillée d'un mini short en jeans coupé par mes soins et d'un t-shirt que j'avais trouver au fond de mon armoire. Je l'avais fais il y a déjà quelques années de ça mais il était pas mal pour ce qu'il était c'est à dire un essai d'un nouveau style qui a l'époque avait bien marcher au niveau de mes amies et connaissances. Et puis où voulait-elle en venir quand elle disait ça. Je ne répondis rien, peut être allait-elle s'en aller et me laisser tranquille. Je ne voulais pas être désagréable et peut être qu'elle non plus alors il fallait que je fasse un effort. Peut être aussi que nous étions dans la même université... Je ne le savais pas encore et si c'était le cas il valait mieux ne pas me la mettre à dos pour mes futures années de lycée. Elle commença à me toucher, les cheveux, les vêtements et même mon sac. Mais pour qui se prenait-elle bordel? Je lui pris mon sac de ses mains et elle repris la parole: « Au fait, je m'appelle Mary Shining, mais appelle moi Shine ! Qui es-tu ? » Et voilà que en plus de critiquer mes vêtements elle voulait faire connaissance avec moi. Je n'arrivais pas vraiment à la cerner même si cela ne faisait que deux minutes qu'elle était dans mon champ de vision. Elle était contradictoire et je ne savais pas comment prendre ce changement de comportement. En tous cas elle avait envie de savoir qui j'étais et ça j'étais en mesure de le lui dire sans être désagréable. Je dis donc avec une gentille voix: « Moi c'est Bonnie et tu peux m'appeler seulement Bonnie quoi. Et si tu pouvais aussi arrêter de me toucher je viens de me réveiller et je suis pas de bonne humeur si tu vois ce que je veux dire. » Je la regarda droit dans les yeux avec un regard qui veut tout dire et attendit qu'elle calme ses hormones en furies!
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Mary J. Shining

Mary J. Shining
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MessageSujet: Re: Pretty Women !    Pretty Women !  EmptySam 2 Oct - 16:03

    « Un jour tu te feras bouffer par un des ces types qui ne supportent pas qu'on leur rappel à quel point ils peuvent être pathétique ... » « Pourquoi forcément un type ? Les fille sont pas mal dans leurs genres aussi ! »

    Je me souviens de cette journée de Mai, lorsque je me trouvais à San Diego avec Synthia. J'ai passé des années en sa compagnie. Tout d'abord dans mon pays, puis dans le sien. Je ne sais pas où elle est aujourd'hui. Je l'imagine bien se faisant dorer la pilule sous le soleil de Miami Beach, entourée de beaux volleyeurs près à tout pour la séduire. Pour qu'elle lève les yeux vers eux. Et elle se ferait une joie de les ignorer, les rendant fou, devenant un challenge, une obsession pour ces pauvres bestiaux. En manque de sexe, en manque de reconnaissance, en manque tout simplement. Assoiffée devant cette oasis, chaque jour durant, pendant des semaines s'il le faut. Je l'imaginais parfaitement jouant ce jeu-là, comme nous l'avions joué durant des années, ensemble. Elle m'avait appris que le sexe et l'amour n'allaient pas forcément de pair. Et qu'il valait mieux, en outre, qu'ils ne soient pas lié. Il y avait moins de risque d'être déçu à partir de cette séparation. De toute manière je n'avais pas l'intention de retomber amoureuse avant un bon moment, mais je n'allais pas pour autant me priver du plaisir du sexe. Du bon sexe. Sans lendemain, sans règles, sans limites. Arrangé. Parfait pour moi.

    Mais pour pouvoir avoir un homme dans son lit, il fallait avant l'attraper, se laisser chasser, le trouver sans doute. Et pour cela, il fallait être tout le temps désirable, et quel meilleur moyen pour cela que de faire les magasins régulièrement pour trouver LE haut qu'il faut avec LA jupe assortie. LE Shorty moulant à souhait, pour draguer et être sure de ne pas sortir bredouille d'une bonne soirée ? J'adorais jouer à ce genre de jeu.J'adorais danser, la bonne musique, les garçons, et surtout les filles. Et la raison pour laquelle je pensais à cela à ce moment précis m'échappait, cependant, je n'en avais cure. Être prise dans des réflexions aussi supportable, agréable, amusante, prometteuse, me remplissait d'une joie sans égale. J'étais d'une humeur fantastique, et il valait mieux que cela dure. Cela allait durer, j'avais une très bonne intuition à ce sujet, et surtout, l'excitation d'un nouveau style de vie me rendait heureuse. J'avais surtout envie de faire des rencontres, et de recommencer à vivre à 1OO à l'heure, sans me poser la moindre question sur mon avenir.

    D'ailleurs cela n'était plus dans mes intérêts principaux depuis longtemps. L'avenir, mon futur, celle que j'aimerais être plus tard. A tout vous dire, je n'avais pas envie d'être à plus tard. Le futur me terrifiait, je n'avais pas envie d'y être, je n'avais pas envie de voir mon visage se couvrir de rides, les années défiler dans mon esprit, ma mémoire s'emplir de moments passés et révolues. Je n'avais pas envie d'être victime de la mélancolie, du regret, du doute constant, de la lassitude, et encore pire : de la tristesse perpétuelle. De l'attente incessante de l'instant fatidique. Ce que je supportais le moins dans le futur, c'était cette avancé constante vers la mort naturelle. Celle que l'on ne peut pas contrôler. Celle qui vous prend quand vous en avait le moins envie, le moins besoin. Celle qui joue avec vos nerfs. Qui attend que vous soyez parfaitement seule pour venir. Et c'était la seule chose que je craignais vraiment dans la mort ; la solitude et la déception dont elle couvrait sa victime. Je préférais l'idée que je pouvais choisir mon moment.

    En attendant, je me permettais de vivre quelques instants de plus, de profiter d'une vie que je n'aurais jamais penser avoir. Je me plaisais dans l'idée de faire des études dans une université prestigieuse, d'autant plus des études qui demandait surtout du personnel. J'adorais parler de moi. Faire des choses qui me montrait au monde tel que je souhaitais que le mon me perçoit. L'art. Je n'étais pas forcément douée dans le domaine, bien que j'adorais la peinture et le dessin. Je me plaisais dans tout ceci, et surtout, ce que j'aimais le plus c'était la vie étudiante. Les fêtes à volonté pour décompresser de la semaine, et le café à midi le lendemain pour tenter de ce remettre les idées en place. C'était ces petits plaisirs simples que j'aimais plus que tout. Et aujourd'hui je me faisais plaisir, royalement.

    La demoiselle en face de moi, Bonnie de son petit nom, ne semblait pas être très causante, ni très joyeuse, mais je n'en avais cure en réalité, et ma bonne humeur l'emporter sur le découragement. Je me contentais de m'assoir face à elle, avec mon petit lait et mes gâteaux et de commencer à les grignoter une fois qu'elle m'eut demander de ne plus la toucher. Je lâchais un rire franc et lui offrais mon plus beau sourire : « Rentre tes griffes, Tigresse. Ce n'est pas une remarque désobligeante. J'adore vraiment tes fringues, tu es ... sexy - crois moi j'ai l'oeil pour ce genre de chose - et décontractée en même temps. Il faudra me dire d'où tu les sors ! » Lui quémandais-je avec un clin d'oeil entendu. Je bus une gorgée de mon fabuleux nectar et en trouvais le gout quelque peu atroce. Je ne comprenais toujours pas ce qu'il y avait de si merveilleux dans le Starbuck, et ma grimace écœurée dut me trahir. Mettant mon lait de côté, je m'attaquais goulument aux gâteaux. « Alors dis moi Beauté, tu es du coin ? N'y aurait-il pas un café plus ... traditionnel que le Starbuck dans cette jolie petite ville étudiante ? »
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